25 février 2011

Doom Angels - Drop pod

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   Avant de commencer cet article, il me faut préciser que, à la suite d'une défaite mémorable avec une armée partiellement peinte, je me suis juré de ne plus jamais jouer avec une armée qui ne soit pas totalement peinte. J'ai fait ce serment en 2005 et ne l'ai toujours pas brisé.

   A mesure que l'armée s'agrandit, le besoin de transports se fait plus pressant. Au point que, devant l'insistance d'un adversaire sur le bien fondé d' l'utilisation d'un drop pod, j'en ai testé l'utilisation. Pour cela, il me fallu faire appel à un proxi sous la forme du trépied de mon appareil photo.


   A ceux qui m'accusèrent d'avoir trahi mon serment, je répondrai que le proxi n'est pas une figurine non peinte... et que le trépied (peint) était la moins mauvaise solution pour simuler un drop pod pour dreadnought.

   Fâché d'avoir eu recours à un procédé que je n'apprécie guère, je me suis lancé à corps perdu dans la préparation d'un drop pod digne de ce nom. Bien qu'ayant fait l'acquisition d'un drop pod Forge World pour dreadnought, j'ai préféré faire mes premières armes sur un kit Games, plus facile à assembler.


   Après avoir soigneusement gratté l'ensemble des pièces du kit, j'ai assemblé les portes avant de les fixer à l'embase. Mais sans les coller de façon à ce que les portes puissent s'ouvrir à l'atterrissage.  Et, comme vous pouvez le voir sur la photo, les montants du drop pod ne sont pas collés.

   Ensuite, sous-couche en Boltgun Metal pour l'intérieur et Chaos Black pour l'extérieur. Après un lavis de Badab Black l'intérieur est vieilli avec une alternance de lavis de Bestial Brown, de brossages à sec en Boltgun Metal.

   Une fois l'intérieur terminé, je ferme les portes et peinture intégrale de celles-ci en Orkhide Shade. Le sabot de réception est repassé au Boltgun Metal, de même que les charnières des portes. Les symboles DA sont peints aux couleurs des Doom Angels.

   Les ombrages sont effectués avec du Prince August n°922. Ensuite, c'est vieillissement à la mousse de blister, avec une alternance de Boltgun Metal, Bestial Brown, scorched Brown, et Terracotta. Les charnières sont vieillies avec différents jus de marrons, pour simuler l'accumulation de rouille et de crasse.

   Les montants et le réacteur central ont été peints à part. Pour les montants: sous-couche noire, puis peinture de chaque montant  l'un après l'autre avec les mêmes étapes d'ombrage et vieillissement que pour les portes.  Le réacteur central a ensuite été sous-couché en Boltgun Metal. Lavis de Badab Black puis travail sur l'ombrage. Pas de vieillissement avec de la mousse blister, le réacteur n'étant pas souvent en contact avec le sol.

   Une fois toutes les pièces peintes, vient le temps de l'assemblage. Et... si vous souhaitez pouvoir ouvrir et fermer les portes, alors c'est la galère. Exemple: lors de l'assemblage du réacteur, prenez soin de pouvoir positionner les montants entre les plaques du réacteur central, sinon ça coince... De plus, il faut bien positionner le réacteur pour que les encoches des portes viennent dans les trous prévus. Sinon le drop pod n'est point hermétique. Et moche.

18 février 2011

Doom Angels - Moto d'assaut

   Après avoir passé trois longues semaines sur mon établi (la faute à aux travaux dans la nouvelle maison), voici la première moto d'assaut Doom Angel. Un vrai plaisir à peindre et à monter.

   Coté peinture, je reste dans l'optique d'un schéma de couleur uniforme pour toute l'armée. S'ils nous sortent un dex DA, digne de ce nom, je pourrai toujours en faire un chapitre successeur. Petit détail pour distinguer les  motards des SM d'assaut volants: l'épaulière droite est une épaulière à clou, clin d'oeil aux cuirs des  séries Z des années 70-80.

   Il manque le garde boue du side, alors si une bonne âme en a un qui traine dans ses bitz, je suis preneur. (contact via les commentaires)

11 février 2011

Le sens de la vis


   Dessinateur et co-scénariste avec Ferri, Manu Larcenet revient avec une nouvelle série: Le sens de la vis. Le format adopté est à l'image de la BD: non conformiste. 

   C'est avec plaisir que l'on retrouve l'état d'esprit qui apparaît dans la série déjà réalisée par les mêmes auteurs: Le retour à la terre. Et, pour ceux qui en ont eu la chance, un peu de cet humour complètement décalé de l'album Correspondances, composé d'extraits des fax échangés entre Larcenet et Ferry.
   Ici, nous suivons les pérégrinations d'un auteur de BD (Demi Lune) et son maitre à dessiner. Le titre de la série s'explique avec le premier album, où l'on apprend toute la sagesse que l'on peut tirer de l'épreuve qu'est le montage d'un meuble Ikéa. Le second tome est plus savoureux encore, avec une quête spirituelle liée au cercle.

   De premier abord, le dessin très simple et un format inhabituel peuvent laisser à penser qu'il s'agit d'un simple exercice de style sans saveur. Bien au contraire. Ces albums sont d'une grande richesse, et l'absence de cadre (le format de l'album fait office de case) en rendent la lecture particulière. Au fur et à mesure de la lecture, la quantité de travail fournit pour aboutir à cette oeuvre d'une grande simplicité apparaît peu à peu. Une série à découvrir sans tarder car c'est du grand Larcenet.

4 février 2011

Le Défi de la Fin du Monde: 1ères candidatures

Le Défi est lancé et nous sommes... deux à avoir des photos à présenter pour les armées en cours.

Tunio a décidé de monter sa phalange de Necron, déjà à 1800pts.
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 Tandis que votre serviteur va monter ses Doom Angels, actuellement à 1875pts.
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